Sorti de Rosières, on s’enfonce dans les gorges de la Suissesse. Passé les dernières maisons, il ne reste plus qu’une nature à laquelle l’Homme s’est adapté pour faire passer le train. Viaducs, murs de soutènement, on se balade au bord du vide. On perd doucement les derniers repères qui nous rattachent au quotidien…Quel ressourcement!
Le 4 décembre 2017
5 personne(s) aime(nt) cet article
0 commentaire
Catégories
Commentaires
Soyez le premier à poster un commentaire !